EAN13
9782918061236
Éditeur
VISAGE VERT
Date de publication
1 juin 2013
Nombre de pages
192
Dimensions
24 x 16 x 1,5 cm
Poids
350 g
Langue
fre

Le Visage Vert N°22

Collectif

VISAGE VERT

Prix public : 17,00 €

Au sommaire de ce numéro : Plusieurs nouvelles inédites placées sous le signe de l'humour : « L'Extincteur à fantôme » (1905) de l'américain Gelett Burgess, ancêtre littéraire de certains films comme S.O.S. Fantômes d’Ivan Reitman (1984) ou encore Fantômes contre Fantômes de Peter Jackson (1996), et deux pastiches holmésiens : Le premier de Bret Harte (« L’Affaire de l’étui à cigares », 1900) et le second très court (peut-être le plus bref au monde ?) de Stephen Leacock : « Une mystérieuse affaire de détective » (1916). Un dossier concocté par François Ducos, « Scotland Yard au pays d’Hoffmann » fait le tour des fascicules populaires d’horreur surnaturelle. On y croise goules en goguette, zombis vengeurs et autres escadrilles de squelettes volants. Un feu d’artifice bariolé où le délire le dispute au kitsch, et un éclairage plein d’humour sur un domaine inconnu en France.Mais des monstres moins drolatiques, nés de cauchemars d’enfance, hantent ce n° 22 du Visage Vert, tels ceux de Rodolphe Töpffer (plus connu pour ses bandes dessinées – il est l’un des inventeurs du genre) dans « La Peur » (1833) ou ceux, contemporains et menaçants, de Romain Verger, dans sa nouvelle « Le Château ».Monstres toujours, mais mythiques, avec « L’Argonaute et la Sirène » (1903) de Camille Mauclair, prélude à une anthologie parue aux Éditions du Visage Vert, et la première partie d’une grande étude de Michel Meurger consacrée au loup-garou.Comme à son habitude, Le Visage Vert s’attache à faire découvrir à ses lecteurs des auteurs oubliés et des textes méconnus, telle la surprenante histoire de Lucien Prévost-Paradol qui, dans « Mon ami Hermann » (1858), met en scène la double vie d’un personnage écartelé entre le Bien et le Mal.
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