Prix public : 18,00 €
<p data-mce-fragment="1"><span data-mce-fragment="1"><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; mso-fareast-font-family: 'Adobe Garamond Pro';" data-mce-fragment="1"><span style="mso-spacerun: yes;" data-mce-fragment="1"> </span></span></span><span data-mce-fragment="1"><span style="font-family: 'Times New Roman','serif';" data-mce-fragment="1">Pierre Daviot dévoile des enchaînements logiques qui avaient pu conduire Jacques Lacan à souhaiter un rapprochement entre ces deux textes : la Bible et<span style="mso-spacerun: yes;" data-mce-fragment="1"> </span>Finnegans Wake, pourtant si éloignés au premier abord. Il trouve des liens inédits qui éclairent cette lecture conjointe.</span></span><span data-mce-fragment="1"><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; mso-fareast-font-family: 'Arial Rounded MT Bold';" data-mce-fragment="1"></span></span></p><p data-mce-fragment="1"><span data-mce-fragment="1"><span style="font-family: 'Times New Roman','serif';" data-mce-fragment="1">« René Bailly, psychanalyste et ancien gérant de l’École freudienne de Paris, m’a fait part, peu avant sa disparition, d’une confidence que lui avait faite Jacques Lacan dans les toutes dernières années, selon laquelle il aurait souhaité consacrer une année entière à une lecture conjointe de la Bible et de Finnegans Wake de James Joyce. La question qui se pose évidemment est celle de savoir quel aurait été le contenu de ce séminaire. » </span></span><span data-mce-fragment="1"><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; mso-fareast-font-family: 'Times Roman';" data-mce-fragment="1"></span></span></p>