EAN13
9782491418007
Éditeur
Presses du Réel
Date de publication
24 septembre 2019
Nombre de pages
248
Dimensions
21 x 15 cm
Poids
420 g
Langue
fre

591 N° 06

Collectif

Presses du Réel

Prix public : 20,00 €

Après que Christian Désagulier se soit vu confier la composition poégraphique de 591 #5 par Jean-François Bory, voici un 591 #6 officialisant la joint-venture avec la revue Toute la lire dont il fut le directeur aux éditions TERRACOL et désormais promu rédacteur en chef de la revue internationale 591 pour que toute la lire !La fusion sinon la recherche poursuivie du point eutectique, un renouvellement c'est-à-dire la continuation avec d'autres moyens, en jetant subrepticement des coups d'œil en arrière ce qui revient à regarder plus intensément devant, avec les moyens du bord du poème visualisé et concrétisé par Jean-François Bory ajoutés à ceux fourbis par Christian Désagulier.Ainsi doté d'un capteur d'ondes poégraphiques émises à travers champs, lesquels seraient ceux de savoirs indistincts pourvus qu'ils soient sus à et par corps, c'est-à-dire éprouvés, techniques, scientifiques et humains dans le projet d'une revue-récit, selon l'expression d'Emmanuel Hocquard, celui de détecter les différences et les variations puis de les tracer dans l'espace référentiel d'une revue internationale, de les faire voir et entendre et espérons toute la lire à 591 !Au sommaire : Nathalie Léger-Cresson au sortir de la Grotte Chauvet, Marianne Ebel relisant Les langages totalitaires de Jean-Pierre Faye, Claire Gillie mesurant l'aggravation des voix de femme et le mutisme de l'enfant, Christian Désagulier se souvenant de sa lecture a capella de L'excès-L'usine de Leslie Kaplan, avec la première partie de l'ouvrage intitulé Allophonhics de Luc Champagneur et puis César Espinosa qui du Mexique dresse un panorama de la poésie visuelle et concrète à l'échelle internationale, avec des souvenirs imaginaires de Jean-François Bory près de Domenico Mennillo pour qui « la vie est ailleurs », une rOmanse d'Olivier Domerg en regard des souvenirs d'enfance décisifs racontés par Demostene Agrafiotis du temps que les ânes parlaient aux gens, et puis des poèmes a, b, cinéphiliques de Jacques Sicard à propos de Marcel Hanoun et Gilles Deleuze, des poèmes aussi mathématiques de Max Bense suivi d'une étude consacrée à Max Bill en poseurs d'équations sémantiques avant que Jean-Pierre Bobillot nous engage à (re)découvrir en précurseur cérébral René Ghil, et pour finir par une chanson d'amour d'Asnaqètch Wèrqu : car si « Des livres ! On n'en lys pas ! », à 591 si… et même qu'on en lit !
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