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Depuis les périodes dictatoriales, le droit de grève n’était pas chose évidente au Tchad, les syndicats qui exerçaient entre-temps faisaient la volonté du pouvoir en place. Il a fallu attendre les années 1990 pour voir la Constitution de la République reconnaître le droit de grève au Tchad. Il est certes constitutionnellement reconnu, mais son exercice pose de nombreux problèmes entre les syndicats, l’État et les entreprises privées. Pourtant, elle est un outil de lutte syndicale réglementé par les lois et règlements en vigueur. Raison pour laquelle une étude comparative était jugée nécessaire pour éclaircir davantage l’opinion publique de l’exercice légale et illégale du droit de grève. Le modèle français et belge était largement convoqué comme exemple dans cet ouvrage aussi analytique que descriptif.