EAN13
9782379166174
Éditeur
MAIA
Date de publication
10 mai 2021
Poids
501 g
Langue
fre

De Voleurs D'Âmes Ô Combien Insatiables

Tyna Esteves

MAIA

Prix public : 20,00 €

Landes, été 2017 Depuis quinze ans et après avoir exercé dix ans sur Paris, la vie d’une croquiste-dessinatrice s’écoule paisiblement au gré du temps. Les prémices des cinquante printemps arrivant, elle se croit à l’abri. Lola, de son prénom, pense avoir tout vu et tout vécu, jusqu’au jour où elle est abordée par SMS. À travers ces derniers, la personne qui se cache derrière lui crie tout savoir de sa vie ; donne des détails… Lola s’interroge : que me veut-elle ? Pourquoi m’observe-t-elle depuis tant d’années ? Pourquoi me l’écrire ? Elle est curieusement spéciale ! Non, juste un MPN : biaiseur extrêmement visqueux qui d’un coup de maître et sans crier gare peut mettre une âme en péril ! Vide de toute substance humaine, il a prêté allégeance à une boursouflure… dantesque ! Face à lui, Lola est juste un esprit sain ; une simple mortelle aucunement tordue. Cherchant à comprendre, ignorant qu’elle est la subsistance d’un ego insatiable, l’artiste va se voir précipitée dans un piège mortel. Alors que depuis un mois elle gît au fond d’un trou béant dans les pires souffrances, un nouveau SMS de son bourreau provoque le soubresaut qui l’oblige à se servir de la loi du talion. À son tour, elle va le traquer, rencontrer un grand nombre de ceux qu’il berne, retrouver de vieilles casseroles, lui servir sciemment d’appât pour déterrer ses moindres démons…avant d’avoir la paix, soulagée d’être en vie. Ne vous fiez plus aux apparences : l’habit n’a vraiment pas l’air de faire le moine… même la philanthropie cacherait ces misanthropes ! Ne criez plus : « de cette eau, je ne boirai point ». Le diable, déguisé en ange, pourrait avoir envie de vous contredire en vous désignant pour une valse aux temps infinis ! Ne pensez plus qu’en prenant de l’âge, vous aurez fait le tour de toutes les ignorances : la vie est et restera la plus grande des écoles et tout ce que l’on sait, en fin de compte, c’est qu’on ne sait jamais tout !
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