Prix public : 14,50 €
Son grand-père, Maurice-le-Rouge, figure du syndicalisme, avait été de toutes les luttes avec ses camarades sidérurgistes de l’Ardoise, dans le Gard.<br /><br />Son père, Claude, fut le représentant du Parti Communiste français aux élections locales.<br /><br />À la maison, on écoutait Jean Ferrat ; à Noël, on recevait les cadeaux du Comité d’Établissement ; le sport du mercredi devait forcément être collectif, et les week-ends servir à distribuer les tracts...<br /><br />Autant dire que Stéphane a grandi à l’ombre du Parti, qu’il avait toutes les cartes en main pour mener une vie d’engagement, une vie épanouie grâce à l’action politique et syndicale. Alors pourquoi a-t-il choisi les Beaux-Arts plutôt que l’usine ? Pourquoi la graine du militantisme n’a-t-elle jamais voulu germer en lui ?<br /><br /><br /><br />Avec un humour teinté de tendresse, Stéphane Bonnefoi porte un regard mélancolique sur son enfance et son récit touche en plein cœur.