Prix public : 14,00 €
A la mort de Jean Giono (1895-1970), Jean Carrière écrivait : « Le monde vient de perdre un des meilleurs intercesseurs qu’il ait eus. Il incarnait l’exemple d’indépendance, de solitude, d’enracinement que je désespérais qu’on pût concilier avec la vocation d’écrivain. » Cet exercice d’admiration et de gratitude est un plaidoyer pour la littérature et pour le monde. « L’homme, soutenait Giono, a besoin d’objets invisibles. » L’amitié est une force qui enjambe l’absence. Entre ces deux écrivains qui n’ont eu de cesse de recréer le monde aux dimensions de leur désir, la conversation se poursuit.Serge Velay.